En collaboration avec la Banque de France, les Instituts d’Emission publient une note sur les économies calédonienne et polynésienne dans le contexte de pandémie.
Face à la crise de la Covid-19, alors que l’économie de la Nouvelle-Calédonie, fortement dépendante du nickel, résiste dans un marché mondial bien orienté, celle de la Polynésie Française se montre plus vulnérable aux restrictions sanitaires, compte tenu du poids du tourisme. L’impact est toutefois limité grâce aux services non marchands, (...)
Le Tableau de bord des indicateurs monétaires et financiers dans les COM du Pacifique compile les données des différentes publications de la collection Infos Financières et apporte un éclairage sur les principales évolutions des encours et productions de crédits, des actifs financiers et des taux dans les Collectivités d’Outre-mer du Pacifique.
En dépit d’un diagnostic 2020 alarmant pour les activités touristiques.
Interrogés au début de l’année 2021, les chefs d’entreprise ultramarins déclarent une baisse de 5 % de leur chiffre d’affaires pour 2020, le secteur du tourisme étant de loin le plus touché par la crise sanitaire (avec un recul attendu de -45 %). Dans le prolongement des orientations favorables observées au dernier trimestre 2020, un rebond de l’activité est attendu pour 2021, mais il ne permettra sans doute pas de rattraper la (...)
À l’occasion de la conférence de presse annuelle donnée au siège parisien des Instituts d’Émission, Marie-Anne Poussin-Delmas, Président Directeur général et Stéphane Foucault, Directeur, ont présenté un bilan de la situation économique et monétaire en outre-mer.
Passé le choc économique du 1er confinement, les économies ultramarines ont montré une résilience plus forte qu’attendue. Celle-ci est d’abord due à l’ampleur du dispositif d’accompagnement mis en place par l’Etat, les collectivités, les banques et, (...)
Pour l’ensemble des Outre-mer, l’impact de la crise sanitaire sur l’activité 2020 est finalement plus limité que celui anticipé en cours d’année dernière. Ainsi, passé le choc économique du premier confinement, les économies ultramarines ont montré une résilience plus forte qu’attendue. Celle-ci est d’abord due à l’ampleur du dispositif d’accompagnement mis en place par l’État, les collectivités, les banques et dans le Pacifique, l’IEOM. Paradoxalement, cette résilience trouve également son origine dans les (...)