Etudes sectorielles par géographies et transverses aux outre-mer

L’Institut est chargé d’une mission d’observation de l’économie de sa zone d’intervention. Cette tâche a pour vocation d’éclairer les autorités monétaires sur la situation conjoncturelle de ces géographies. Ces travaux d’analyse de l’IEOM sont également exploités par l’ensemble des acteurs économiques et sociaux, entreprises, chambres consulaires et pouvoirs publics.

Cette mission donne lieu à la production et à la diffusion d’indicateurs financiers, de statistiques monétaires, d’études économiques et d’enquêtes de conjoncture. Cela se traduit par des publications régulières, toutes accessibles sur le site Internet de l’IEOM (www.ieom.fr).

Expertise et conseil auprès des acteurs locaux

Outre les travaux d’analyse de l’IEOM, qui éclairent utilement la prise de décision en faveur du développement économique des territoires, l’IEOM est également amené à exercer un rôle d’expertise et de conseil directement auprès des acteurs ultramarins, qu’ils soient publics ou privés. A ce titre, l’IEOM a été étroitement associé aux travaux entrepris dans le cadre des Assises de l’outre-mer.

Actions de place

Le Siège et les agences de l’IEOM organisent ou participent régulièrement à des actions de place. Celles-ci correspondent à l’ensemble des opérations concourant à l’animation de la place financière de leur zone d’intervention.

Balances des paiements

L’IEOM établit les balances des paiements de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française : il réalise la collecte des données, ainsi que l’élaboration et la publication de rapports annuels sur les balances des paiements.

Partenariat CEROM

Le projet Comptes économiques rapides pour l’Outre-mer (CEROM), né en 2003 et formalisé par un accord-cadre signé en 2004 sous l’impulsion de 7 partenaires institutionnels , consiste à mettre en place un cadre statistique permettant d’analyser les évolutions récentes de la situation économique des Outre-mer français. Ce projet, qui donne lieu à des publications régulières, permet de contribuer au développement progressif d’une capacité d’analyse des évolutions économiques ultramarines.