Comme en 2009, l’économie calédonienne est demeurée bien orientée, profitant de la reprise vigoureuse de la demande dans les pays émergents -se traduisant notamment par un niveau élevé des cours du nickel- et d’une demande intérieure soutenue du fait non seulement des grands travaux en cours mais aussi d’une consommation et d’un investissement des ménages dynamiques.