Cette évolution a permis au niveau de vie par habitant de se rapprocher du niveau métropolitain. Parallèlement, le pouvoir d’achat s’est amélioré et les ménages ont eu davantage recours à l’emprunt pour investir et consommer. Malgré cette « financiarisation » accrue, le nombre de ménages dont l’endettement dépasse le tiers de leurs revenus demeure limité (un sur dix) et le nombre de dossiers de surendettement déposés, proportionnellement à la population, reste très faible par rapport à la métropole.

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