Le taux moyen des découverts est stable par rapport au trimestre précédent à 2,33 %. Le taux moyen des crédits de trésorerie échéancés repart à la hausse (1,44 % après 0,86 % trois mois plus tôt) en lien avec la faible production des prêts garantis par l’État (631,7 millions de F CFP accordés au premier trimestre 2021 contre 11,5 milliards au dernier trimestre 2020). Le taux moyen des crédits à l’équipement augmente légèrement (2,14 % après 2,09 %). Le taux moyen des crédits immobiliers perd 16 points de base (...)
Le taux moyen des découverts est comparable à celui du trimestre précédent (9,74 % après 9,75 %). Le taux moyen des prêts personnels et celui des crédits à l’habitat atteignent de nouveaux points bas historiques, respectivement 4,36 % et 1,87 %. Le taux moyen des « autres crédits » perd 7 points de base pour s’établir à 3,8 %. Les taux négociés en Polynésie française sont globalement proches de ceux de la Nouvelle-Calédonie, mais se révèlent moins favorables que ceux de la France (...)
Au premier trimestre 2021, la production de crédit hors découvert, 26,2 milliards de F CFP, diminue de 25 % en rythme annuel.
Après trois trimestres de baisse, la production de crédit aux particuliers ne montre toujours pas de signe de reprise. D’un montant de 15,1 milliards de F CFP, elle accuse une contraction de 18,5 % sur un an, pénalisée par le manque de dynamisme des prêts personnels à la consommation (-21,1 % sur un an) et des crédits à l’habitat (-12,4 (...)
En collaboration avec la Banque de France, les Instituts d’Emission publient une note sur les économies calédonienne et polynésienne dans le contexte de pandémie.
Face à la crise de la Covid-19, alors que l’économie de la Nouvelle-Calédonie, fortement dépendante du nickel, résiste dans un marché mondial bien orienté, celle de la Polynésie Française se montre plus vulnérable aux restrictions sanitaires, compte tenu du poids du tourisme. L’impact est toutefois limité grâce aux services non marchands, (...)
La lettre de l’IEOM - Polynésie française - Avril 2021
Au mois de février, la masse monétaire diminue légèrement (-0,5 %). La contraction des dépôts à vue (-1,7 %) est partiellement compensée par une augmentation des dépôts à terme (+0,9 %) et sur comptes sur livrets (+1,2 %).