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Septembre 2018

14 09 18
Blog-Notes Eco de la Banque de France : L’impact économique des chocs financiers : le principe du tout-ou-rien
Blog-Notes Eco de la Banque de France : L’impact économique des chocs financiers : le principe du (...)

La crise financière de 2008 et la crise de la dette souveraine dans la zone euro ont entraîné des récessions majeures, alors que l’éclatement de la bulle technologique en 2000 n’a eu qu’un impact macroéconomique modéré. Ce principe du « tout ou rien » résulte du phénomène d’amplification : dans un système financier fragile, les agents sont plus sensibles aux changements des conditions financières. [...]

14 09 18
Rue de la Banque n°67 : Un modèle DSGE pour analyser la réglementation post-crise des banques universelles
Rue de la Banque n°67 : Un modèle DSGE pour analyser la réglementation post-crise des banques (...)

La crise financière de 2007-2008 a conduit à une refonte globale des instruments destinés à la réglementation prudentielle. À l’échelle internationale, la nouvelle réglementation Bâle III a accru les exigences de fonds propres et a également introduit deux ratios de liquidité, à court et à long terme. Ce Rue de la Banque fournit de nouvelles estimations de l’impact à long terme de la nouvelle réglementation sur le crédit bancaire et le produit intérieur brut, qui apparaît limité. [...]

14 09 18
Panorama de l’activité bancaire dans les COM 2017
Panorama de l’activité bancaire dans les COM 2017

Le marché bancaire des COM du Pacifique, dont la structure a peu évolué sur les quatre dernières années, est organisé essentiellement autour des grands groupes bancaires métropolitains et d’autres acteurs locaux importants comme les banques de la sphère publique (Banque SOCREDO, Banque calédonienne d’investissement) [...].

14 09 18
BCE : Réunion du Conseil des gouverneurs du 13 septembre 2018
BCE : Réunion du Conseil des gouverneurs du 13 septembre 2018

À l’issue de la réunion du 13 septembre 2018 du Conseil des gouverneurs de la Banque Centrale européenne, Mario Draghi a déclaré : « Au terme de notre examen régulier de la situation économique et monétaire, nous avons décidé de laisser les taux d’intérêt directeurs de la BCE inchangés [...]. Les informations disponibles, provenant notamment des nouvelles projections macroéconomiques établies par nos services en septembre 2018, confirment globalement notre évaluation précédente d’une croissance généralisée de l’économie de la zone euro qui se poursuit et d’une accélération graduelle de l’inflation. La vigueur sous-jacente de l’économie continue d’étayer notre confiance dans la poursuite de la convergence durable de l’inflation vers notre objectif au cours de la période à venir, au-delà même de la réduction progressive de nos achats nets d’actifs. Cela étant, les incertitudes concernant la montée du protectionnisme, les vulnérabilités des marchés émergents et la volatilité des marchés financiers se sont accrues récemment. Un niveau significatif de relance monétaire reste nécessaire pour soutenir la poursuite du renforcement des tensions domestiques sur les prix et de l’inflation globale à moyen terme [...].