Ce projet concerne la mise en place d’un procédé innovant qui permettra de traiter et de stocker les résidus secs produits par l’usine.
Le PDG, Fabio Schvartsman, après un an de recherche d’un partenaire, a déclaré que Vale financerait seul cet investissement de 500 millions de dollars. Suite à cette annonce, les travaux devraient commencer sans délai.

Au-delà de permettre le prolongement de la vie de l’usine jusqu’en 2042 et d’assoir la position de Vale sur le marché des batteries électriques, cet investissement permettrait la création d’emplois lors de la phase de construction. D’après les estimations de Vale, en moyenne 500 personnes travailleront sur le chantier pendant deux ans, avec des pics à 1 100 personnes, les trois quarts seront des emplois locaux.
https://www.ncpresse.nc/Retour-d-Antonin-Beurrier-chez-Vale-et-lancement-de-Lucy_a7602.html