Après avoir enregistré une croissance record (+18,3% sur un an) au premier trimestre 2021 (effet de base du fait des perturbations liées à la pandémie au 1er trimestre 2020), la Chine affiche un léger ralentissement au 2nd trimestre (7,9% sur un an). L’activité chinoise reste toutefois robuste, tirée par le secteur industriel (+8,3% sur un an), les ventes au détail (+13,9% sur un an) et l’investissement (+12,6% sur un an).
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Sous l’impulsion du chef de l’État, le 5e sommet France-Océanie, organisé en visioconférence le 19 juillet, a rassemblé les responsables politiques des états insulaires du Pacifique Sud, notamment l’Australie et la Nouvelle-Zélande, ainsi que les Collectivités d’Outre-mer du Pacifique. Les principaux axes de discussion ont été les conséquences de la Covid-19, la protection de l’environnement, le réchauffement climatique et le développement durable.
Prônant le renforcement de la coopération, le président français Emmanuel MACRON, a annoncé la création d’un « réseau maritime français du Pacifique Sud » pour assurer la surveillance maritime et le doublement de la contribution française au fonds Pacifique, de 1,4 million à 3 millions d’euros. Il a également exprimé la volonté française de soutenir les initiatives en matière de climat et de biodiversité et de consolider les dispositifs d’aide d’urgence en cas de crise humanitaire.
Au deuxième trimestre 2021, l’indice des prix à la consommation progresse de 3,3 % en rythme annuel. Les plus fortes contributions à cette évolution sont les transports (+9,4 %), les dépenses pour le logement (+3,9 %) et l’alimentation (+1,6 %).
La banque centrale de Nouvelle-Zélande (RBNZ), réunie le 14 juillet dernier, a jugé que les pressions haussières sur les prix, liées notamment au renchérissement des hydrocarbures, au cout du transport et aux difficultés d’approvisionnement pourraient s’ancrer dans la durée en raison d’une conjoncture bien orientée et de tensions sur le marché du travail. Elle a donc réagi en cessant son programme d’assouplissement quantitatif à grande échelle (LSAP) mis en place au début de la Covid-19. Elle n’a toutefois pas modifié ses taux directeurs, mais nombre d’analystes s’attendent à une hausse avant la fin de l’année.