Agence de la Polynésie française - 21 rue du Docteur Cassiau - BP 583 - 98173 Papeete -Directrice de rédaction : Sophie Natier - Directeur de publication : Fabrice Dufresne
Pénalisée par le confinement imposé sur l’ensemble du pays à compter du mois d’août, l’économie néozélandaise ralentit de 3,7 % au troisième trimestre. La consommation des ménages reflue de 7,5 %, après -1,1 % au trimestre précédent, de même que l’investissement (-5,3 %), tandis que les importations (+7,2 %) et les exportations (-2,2 %) apportent aussi une contribution négative à la croissance.
Au troisième trimestre 2021, les mesures de lutte contre la propagation de la Covid-19 (confinement des grandes villes, contrôles draconiens aux frontières) pèsent sur le PIB qui se replie de 1,9 % par rapport au trimestre précédent. La plus forte contribution à la baisse provient de la demande intérieure. Les dépenses des ménages reculent de 4,8 %, surtout dans les transports (-40,8 %) et l’hôtellerie-restauration (-21,2 %).
Contrairement aux autres pays et en l’absence d’inflation, le comité de politique monétaire de la Banque centrale du Japon a décidé de poursuivre sa politique monétaire accommodante. Le taux d’intérêt directeur à court terme ne change pas et reste négatif (à -0,1 %).
Conclu en juin 2021 par un accord de principe et ratifié le 17 décembre, ce traité de libre-échange doit permettre de générer un supplément d’échanges commerciaux (estimés à 10,4 milliards de livres pour le Royaume-Uni) et favoriser la circulation des citoyens (notamment par la délivrance facilitée de visas de travail) entre les deux pays.
Le 6 décembre 2021, la Chambre territoriale des comptes (CTC) a remis à l’Assemblée de la Polynésie française un rapport relatif au secteur de la perle dont elle dresse un bilan pessimiste. Elle y constate l’opacité du secteur en matière d’emploi, son impact écologique sur les lagons et son incapacité à promouvoir la qualité des produits, malgré la réforme entreprise en 2017.