En 2021, les délais de paiement des entreprises polynésiennes, toutes tailles et tous secteurs confondus, se sont établis en moyenne à 40 jours de chiffre d’affaires pour les délais clients et à 54 jours d’achats pour les délais fournisseurs, à des niveaux inférieurs au délai maximal autorisé de 60 jours et relativement proches des moyennes constatées dans l’Hexagone (42 jours de délais clients et 48 jours de délais (...)

En 2020, l’irruption de la pandémie de la Covid-19 a plongé la Polynésie française dans une crise sanitaire sans précédent, provoquant un choc majeur sur l’économie du territoire. L’IEOM a réalisé une étude afin d’en mesurer l’impact sur la situation financière des entreprises polynésiennes.

En 2020, les délais de paiement des entreprises polynésiennes s’établissent en moyenne à 43 jours de chiffre d’affaires pour les délais clients et à 54 jours d’achats pour les délais fournisseurs. Des délais inférieurs au délai maximal autorisé de 60 jours et relativement proches des moyennes constatées dans l’Hexagone (43 jours de délais clients et 49 jours de délais fournisseurs).

LA CRISE COVID A ACCENTUÉ LA DÉMATÉRIALISATION DES ÉCHANGES
La crise de la Covid-19 a influé sur les modes de paiement des Polynésiens sans toutefois remettre en cause les tendances de fond. En effet, la dématérialisation des échanges économiques, en marche depuis plusieurs années, est apparue d’autant plus nécessaire que la pandémie imposait des mesures de restriction des déplacements et de distanciation physique, jusqu’au confinement. Dans ce contexte exceptionnel, le système des moyens de paiement en (...)

Les délais de paiement correspondent à la durée prévue dans un contrat entre, d’une part la livraison ou la facturation d’un bien, d’un service par le fournisseur ou le prestataire, et d’autre part le paiement par le client. Ils revêtent une importance majeure pour la trésorerie des entreprises.

L’huître à lèvres noires (pinctada margaritifera) est convoitée depuis plusieurs siècles pour la beauté de sa nacre et pour la qualité de ses perles fines. Il faut attendre les années 1960 et l’importation des techniques de greffe depuis le Japon pour que le prélèvement dans les milieux naturels soit remplacé par un processus d’élevage qui a permis de maîtriser le cycle de production de la perle noire de Polynésie française et d’augmenter significativement les volumes (...)