Depuis juillet 2017, plusieurs élus ont été contraints de démissionner pour cause de double nationalité, la constitution de 1901 interdisant aux plurinationaux d’accéder à un poste de parlementaire. Après la démission de deux élus le 11 novembre 2017, le parti libéral perd la majorité à la chambre des représentants (74/140 sièges). Deux élections partielles doivent avoir lieu prochainement. Le gouvernement travaille sur un projet de loi obligeant les élus à déclarer s’ils ont une ou plusieurs nationalités.