Début septembre l’agence de notation Standard and Poor’s, qui évalue notamment le risque de solvabilité financière des pays, a attribué la note de crédit maximale, AAA, à la Nouvelle Zélande.
Elle précise que le pays a un « excellent cadre institutionnel, une richesse économique et un niveau modeste de la dette publique » et que l’économie s’est rapidement redressée après la Covid-19, reflétant la bonne gestion de la crise sanitraire par le gouvernement.
Ce dernier poursuit également son objectif de consolidation des dépenses qui devrait permettre la réduction du déficit public dans les années à venir.

L’engouement pour le programme de mobilité de la main d’œuvre dans le Pacifique à travers l’expatriation de personnels soignants en Nouvelle Zélande et en Australie, cause des pénuries dans les petites îles du Pacifique (Kiribati, Iles Cook, Fidji, Tonga).
Certains infirmiers, formés dans les îles, ne peuvent pas exercer directement en tant qu’infirmiers diplômés et se retrouvent dans le secteur du soin aux personnes âgées, ce qui implique une sous-utilisation de leurs compétences.
Au total, ce sont plus de 35 000 travailleurs qui ont bénéficié de ce programme.

D’après les dernières données des douanes chinoises, le commerce extérieur continue de reculer en août. Les exportations enregistrent une variation négative depuis le début de l’année, excepté pour les mois de mars et avril. Sont en cause l’inflation élevée en Europe et l’horizon d’une possible récession, les tensions géopolitiques avec les Etats-Unis, ainsi que la volonté de certains pays occidentaux de réduire leur dépendance à la Chine. Les importations connaissent un dixième repli consécutif.
En conséquence, l’excédent commercial perd 12,3 milliards de dollars US entre juillet et août.
La Chine traverse, par ailleurs, un ralentissement de sa production, un taux de chômage record chez les jeunes (plus de 20 % en juin) et une crise de son secteur immobilier.